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Vin d’orange ou liqueur d’orange, apéritif ou digestif (bonus : vin de poires)
J’ai deux recettes de vin d’orange testées il y a une vingtaine d’années, une au vin rosé et l’autre au vin blanc, sans que j’ai pu décider laquelle je préférais. Un temps j’avais trouvé une dame jeanne dans une brocante et puis les années outremer sont passées par là, et la dame jeanne a fini on ne sait trop où. Lire la suite…
Punch, apéritif au rhum et aux fruits exotiques
Peu importe les fruits pourvu qu’il y ait du rhum, a-t’on envie de dire. La base du punch c’est le rhum blanc, choisissez celui que vous voulez, Martinique, Réunion…
A l’origine était le tafia au XVIème siècle (rhum non raffiné) que les marins anglais mélangeaient avec du sucre, comme cela tenait sûrement du tord boyau, pour se donner du coeur au ventre avant de prendre la mer ou pendant par gros temps, la recette a été améliorée lorsqu’ils ont accosté en Inde et le mélange adouci avec des fruits locaux, du thé et de la cannelle. Lire la suite…
Baba au rhum à l’orange
Savarin ou baba ?
Levure chimique pour l’un, levure de boulanger pour l’autre, encore une recette à controverse !
Pour d’autres, la composition des deux pâtes est identique mais dans la pâte à baba, on ajoute des raisins secs.
Ce qui met tout le monde d’accord, c’est que dans le baba au rhum on met de l’alcool et habituellement du rhum. Voui ! Lire la suite…
Rognons à l’huile de truffe
D’habitude la sempiternelle question bi-quotidienne, multipliée par autant d’exemplaires qu’il y a de membres dans la famille : « qu’est-ce qu’on mange ? » est reçue avec plus ou moins de bonne humeur. Cela dépend pour beaucoup de un, si j’ai fait à manger, deux, si j’en suis contente, trois, si potentiellement ça va plaire à tout le monde, quatre et plus, mon humeur, mon envie de répondre, etc… Aujourd’hui, je l’attendais avec impatience surtout de la part des enfants, qui ne manquent jamais de la poser à peine le pied posé dans la voiture et je riais d’avance de la réponse : des rognons. En fait, j’ai répondu des corones ou des coucougnettes ou des koreos, pour pimenter un peu plus la conversation. Sachant que reins ou couilles peu importe la provenance, et de la bête et du morceau, leurs estomacs allaient se soulever et qu’ils n’en mangeraient pas de toute façon. Les beurks et autres exclamations écoeurées ont fusé mais nous on s’est régalé.
C’est vous qui le dîtes