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Briochettes au foie gras épicé et son confit d’oignons
Une entrée très festive et savoureuse préparée pour la fête des pères. Il fallait inaugurer sans tarder les jolis moules, en forme de coeur, ramenés de métropole la semaine dernière. J’avais missionné la métropole de faire une razzia sur les moules et emporte-pièces en tous genres. Me prenant au mot et connaissant ma propension certaine à l’accumulation et à la diversité, j’en ai reçu de toutes les formes, des ronds, des carrés, des animaux, en plastique, en métal, de quoi contenter la plus exigeante des pâtissières. Si je suis un peu exigeante, si, si, je ne suis pas une excellente pâtissière, préférant passer du temps sur les plats salés et ayant peu de patience pour la pâtisserie. Mon nouveau lot de moules emplit un plein saladier, j’y farfouille avec bonheur et ils me donnent envie de tous les essayer.
Profitant de la fête des pères, ceux en coeur ont eu la préférence et on été testés hier en collaboration avec le futur cuisinier en herbe de la famille.
En plus avec les petites brioches, je participe au concours de recettes de Cuisine Plurielles. Lire la suite…
Idées cadeaux ou tout ce que vous devriez savoir sur la fête des pères
Fête des pères : Bonne fête papapapapapapa !
Pour vous en boucher un coin tout de suite, savez-vous d’où vient le mot papa ?
Hé oui, qui peut bien se poser cette intéressante question ?
Personne, à part moi ! J’ai décidé de veiller en plus de vos estomacs sur votre bien-être et votre intellect… Alors papa, ça vient ?
Pour dire le vrai, l’origine n’est pas très claire, la chose doit remonter à trop longtemps et sembler si naturelle ou n’intéresser personne, à part moi.
Proposition : papa-triarche ? papa-ternel ? Presque, il semblerait que ce petit mot, désignant affectueusement le papa-ter familias, vienne de papa-ppus, formé du latin « pappus » ou « pappas » signifiant aïeul.
Un enfant malicieux, farceur ou trop jeune, plus probablement, fit comme le font encore nos délicieux bambins, commençant à peine à maîtriser la langue, le latin pour l’époque, il se mit à répéter à l’envie le premier vocable qui lui tomba sous la langue.
Comme un vieux (d’au moins 30 ans) passait par là, et que déjà les ados, étaient irrévérencieux, le grand frère apostropha le papa-tricien en ces termes : hé le pater, ça roule !! (pour le « ça roule », on n’est pas sûr, mais là n’est pas l’objet de notre étude).
Le petit frère, ne retenant que la première syllabe, il en résulta une litanie de : papapapapapapapa.
C’est vous qui le dîtes